PREPARATION DE LA DEUXIEME JOURNEE MONDIALE DES PAUVRES 18 NOVEMBRE 2018

 

  • En parler en équipe d’animation et en doyenné et voir ce que l’on fait dans nos communautés et nos paroisses.
  • Etudier le message du pape François pour cette journée : » Un pauvre crie, le Seigneur entend »
  • Mettre en valeur ce qui se vit déjà dans la paroisse sur le plan caritatif et le célébrer. Valoriser aussi les initiatives d’autre mouvements de solidarité et de diaconie (catéchuménat, catéchèse, service évangélique des malades, CCFD Terre Solidaire, conférence Saint Vincent de Paul, Ordre de Malte…)
  • Utiliser les propositions liturgiques du Secours Catholique (cf. livret « Prions en Eglise »)
  • Bien communiquer sur cette 2 ème journée en lien avec les bénévoles du Secours Catholique, aux outils de communication paroissiaux et diocésains
  • Ce jour-là, il serait possible de dire un mot pour présenter la diversité des mouvements et initiatives caritatives. Mais la journée mondiale des pauvres se veut d’abord missionnaire avec et à partir des pauvres ! Personne n’est trop pauvre pour n’avoir rien à partager ! L’objectif est bien de « partager » avec les pauvres ‘la Parole de Dieu, un repas, une parole…) et de les mettre au cœur de nos communautés, de nos paroisses et de nos liturgies. Que la diaconie soit vécue comme le cœur vivant de nos paroisses et de nos communautés. Que les riches et pauvres se réjouissent ensemble !

 

Propositions pour la liturgie

 

  • Prendre le temps d’un vrai examen de conscience en début de messe (liturgie pénitentielle) Liturgie de conversion, de silence et d’humilité.
  • Confier l’homélie à un diacre quand c’est possible et que cela convient
  • Réfléchir à une personne en fragilité que l’on connait, écrire son prénom sur une feuille de papier en forme de main ou de cœur. Proposer ce geste qui marque notre solidarité avec les plus précaires par exemple en fin d’homélie et recueillir les mains ou les cœurs au moment de l’offertoire pour les placer devant l’autel.
  • Faire remonter (dans la liturgie de la messe ou du repas partagé) des expressions et des paroles de personnes en précarité (joies, difficultés, tristesse, espoir et initiatives des pauvres… « la clameur des pauvres », écouter leurs cris…)
  • Autant que faire se peut, inviter les personnes pauvres à préparer et à intervenir dans la liturgie (lectures, prière universelle, quête, procession des offrandes, chants etc… Et que déjà les personnes en précarité ne soient pas au fond de l’église !)
  • Utiliser librement le texte ci-dessous de l’acte d’offrande à la diaconie…

 

Des repas partagés après la messe du 18 Novembre

(Le pape insiste fortement sur ce point !)

 

Inviter évidemment les personnes pauvres que nous connaissons et avec lesquelles nous avons un lien d’amitié et de confiance, des personnes seules, en précarité, en situation de handicap etc.

Assurer une animation pendant ce repas pour qu’il y ait une vraie convivialité et un brassage des personnes.

En rural, les paroisses composées de nombreux clochers s’organisent très longtemps à l’avance. Il est possible d’envisager un repas partagé à un autre moment… On peut également envisager un petit déjeuner partagé avant la messe si c’est plus simple…

 

Acte d’offrande de la diaconie

 

 

Accueille Seigneur en ce jour mon désir de te servir,

je t’offre ce que je suis.

Ta grâce me suffit.

Je ne demande rien d’autre,

afin de vivre selon Ton Evangile,

uni à toutes celles et ceux qui,

dans la diaconie de Ton Eglise,

cherchent à faire Ta volonté.

Amen !

 

 

Merci, quand cela est possible de faire remonter photos, témoignages, récits de cette journée à :

soulmagnon.philippe@neuf.fr

eveche.limoges@wanadoo.fr

 

Revenir